Lesfidèles musulmans et musulmanes ont rempli la grande mosquée de la ville de N’Djamena. Les fidèles, habillés chacun avec son boubou neuf, attendent l’arrivée du Président de la transition, Mahamat Idriss Deby et l’Imâm. En attendant, ils récitent Altakbir “Allâhu Akbar, Allâhu Akbar, Allâhu Akbar wa li-Llâhi-l-hamd”, cela veut dire “Dieu est le plus
Ladécision du président Alpha Condé de rouvrir les lieux de culte dans les préfectures qui n’ont pas notifié de cas positifs de Covid-19 ces 30 derniers jours a été unanimement salué dans ces localités. Dans la ville de N’zérékoré, les fidèles musulmans interrogés sur la question avant-hier, samedi 20 juin 2020, ont dit leur []
Ilest vendredi midi et nous sommes dans la rue Safrany à Budapest. Une mosquée à l’apparence discrète accueille les fidèles qui y affluent pour la prière la plus importante de la semaine, la Jumu’a. Cependant, l’appel habituel à la prière ne résonne pas dans le voisinage. Située dans un immeuble récent rappelant le siège d
AccueilSociété> Cameroun – Ramadan à Douala: Les fidèles musulmans prient pour la paix. Société Cameroun – Ramadan à Douala: Les fidèles musulmans prient pour la paix. 237online 29 juillet 2014. Temps de lecture 1 minute. Partager. Pinterest Reddit WhatsApp Telegram Viber
Madinani Le grand imam de la mosquée centrale, El hadj Komara Soualio, a invité les fidèles musulmans à l’entente et la cohésion sociale, lors de la grande prière de
Lescinq prières quotidiennes. Chaque jour, le musulman accomplit cinq prières : la prière du matin appelée Fajr ou Subh, la prière de Dohr, la prière d’Al Asr, la prière au coucher du soleil Al Maghrib puis la prière Al Ichaa. Ces prières sont d’une grande importance. Elles permettent d’ailleurs d’effacer nos péchés.
rdXGn3x. Hélène Kohl et Mélina Facchin, édité par Antoine Terrel 07h41, le 15 octobre 2021, modifié à 07h46, le 15 octobre 2021 REPORTAGELe projet, mené à titre expérimental, devrait durer deux ans. En Allemagne, la ville de Cologne a décidé d'autoriser l’appel à la prière des musulmans tous les vendredis depuis les différentes mosquées de la ville. Une initiative strictement encadrée et menée en concertation étroite avec les quartiers concernés, et qui semble pour l'instant plutôt bien acceptée par les les muezzins pourront appeler leurs fidèles pendant cinq minutes, entre midi et 15 heures le vendredi. Le voisinage devra en être informé en amont par courrier ou avec un affichage. Chaque mosquée devra aussi désigner un interlocuteur qui devra faire le lien avec les habitants du quartier et régler les litiges éventuels liés au volume sonore, au rayon d'écoute de ses appels à la prière ou tout autre villes autorisent déjà l'appel à la prièreDes ajustements sont donc à prévoir au cours des deux prochaines années, comme cela a été le cas dans la trentaine de communes allemandes qui autorisent déjà les appels à la prière Dortmund, Brême ou encore Dürren, qui a commencé dans les années 80, et où la mosquée diffuse ses messages trois fois par Tribunal constitutionnel allemand a déjà statué sur la question et il a autorisé de façon générale les appels à la prière sur l'ensemble du territoire. Là où l'expérience de Cologne est spécifique, c'est que les autorités de la ville ont réussi à imposer la nomination d'un interlocuteur dans les mosquées. C'est une petite brèche dans le système très opaque mis en place par la Turquie et qui contrôle l'essentiel de l'islam en Allemagne."Entendre les cloches sonner, c'est la même chose"Dans les faits, le chant du muezzin ne résonnera pas tout de suite dans la ville de Cologne. Chaque mosquée va d'abord devoir demander une autorisation à la mairie et pour l'instant, seules trois sur 35 se sont manifestées. Mais dans le quartier de la Grande mosquée, le projet ne pose globalement pas de problème aux habitants, pourtant plutôt habitués aux cloches de l'église. "Je suis pour la liberté des religions... Entendre les cloches sonner. Pour moi, c'est la même chose que d'entendre le muezzin chanter", assure une habitante. A certaines conditions quand même... "J'aimerais bien que ce ne soit pas trop fort et en allemand", dit un autre. Pour Moustapha, imam de la Grande mosquée, il n'y a pas de quoi créer une polémique. "Les gens ici sont très ouverts. Porter notre voix à l'extérieur, on accueille ça avec beaucoup de joie", confie-t-il.
Se connecter Bienvenue ! Connectez-vous à votre compte Récupération de mot de passe Récupérer votre mot de passe Un mot de passe vous sera envoyé par email. Alpha Bacar Barry, ministre de l'Enseignement technique et de la Formation professionnelle À LIRE AUSSI
Publié le 09/01/2015 à 1823 "Dieu pleure, s'il voit ça" dans une grande mosquée de Châteauroux, comme partout ailleurs en France, la prière du vendredi a été dominée par l'attentat contre Charlie Hebdo, et suivie d'un rassemblement dénonçant les auteurs du carnage. "Ces gens-là n'ont rien compris à la religion musulmane. C'est un comportement barbare", dit Boumedien Chbani, secrétaire de l'Association cultuelle et culturelle des Marocains de l'Indre ACCMI, qui gère la Mosquée des Bienfaiteurs à Châteauroux, un grand bâtiment récent en forme de halle, surmonté d'un toit en tôle rouge et d'un clocheton, mais sans minaret. "Le Coran n'a jamais demandé de tuer", renchérit le président de l'association, Bouchaib Hamdani, deux jours après l'attentat qui a fait 12 morts au siège parisien de l'hebdomadaire la prière et le prêche -en arabe, puis en français- de l'imam marocain Hassan Fadili, faisant l'éloge de la "miséricorde et la compassion" du prophète Mahomet, y compris envers les animaux, les quelque 300 fidèles se rassemblent devant la mosquée, la plus importante des trois lieux de culte musulman de le parking, dans un quartier HLM, ils rejoignent sous un crachin tenace une trentaine de non-musulmans, certains portant des badges frappés du mot d'ordre "Je suis Charlie", en français et en par des fidèles, jeunes et vieux mêlés, en habit de ville ou en gandoura, des banderoles proclament "défendons les valeurs républicaines", "non à la violence", "Condamnation - indignation".Des femmes soutiennent un calicot "l'islam = paix, tolérance, respect". Dans la petite foule, des pancartes comme "le terrorisme n'a pas de religion", "sans foi ni loi"."Celui qui n'est pas miséricordieux envers les hommes n'aura pas droit à la miséricorde d'Allah", avait tonné auparavant l'imam , vêtu d'une djellaba immaculée, du haut du minbar chaire. Stigmatisant des terroristes qui "salissent l'image de l'islam", le religieux a souligné que "nous, les musulmans, nous sommes aussi les victimes directes ou indirectes de tels agissements", avant de mener la prière des fidèles prosternés devant le mihrab, indiquant la direction de la le groupe de fidèles rassemblés face à la mosquée, le vice-président de l'ACCMI, Faouzi Jawadi, appelle sous les applaudissements "tous" les fidèles à participer au rassemblement organisé dimanche devant la appel relayé dans la plupart des mosquées du pays, comme à Paris par l'imam Abdel Qader Achour, de la mosquée de la rue Jean-Pierre Timbaud XIe arrondissement. "Nous allons tous y aller", a assuré à l'AFP un fidèle, Mahmoud Khalaf. 'Patience' face aux provocations "Oui, j'irai à la manifestation", a proclamé l'imam Chabbar Taieb, de la mosquée Ali, rue du faubourg Saint-Denis à Paris, qui a demandé aux fidèles "de faire preuve de patience face à d'éventuelles provocations anti-musulmanes".A la grande mosquée de Paris, le recteur Dalil Boubakeur a lancé "un appel solennel à tous les musulmans de France pour participer … à la journée" de manifestation de dimanche."Tout le monde est bouleversé et ému par la tuerie qui a eu lieu à Paris", a déclaré en chaire l'imam Belgacem Ben Saïd, de la mosquée Assalam de Nantes. "En janvier 2006, quand il y a eu les caricatures du prophète Mahomet, nous étions les premiers à condamner ces images et ces caricatures. Mais rien ne peut justifier une telle violence", a-t-il tonné. "A la caricature, nous répondons par la caricature, par un dessin, à un article de presse par un article, à une interview par une interview. Mais on ne répond pas avec les armes. On ne met pas sur le même plan un dessin et une kalachnikov", s'est indigné l’imam Mustafa Riad de la mosquée de l'Union à Montpellier, devant 300 fidèles."Je fais appel à vous, à tous les musulmans de Marseille" pour participer au rassemblement prévu samedi, a lancé du haut de sa chaire l'imam Mohsen N'gazou. "Il faut que la société voie sa composante musulmane participer... avec nos chibanis anciens, nos femmes, nos jeunes" a-t-il Strasbourg, où un millier de fidèles ont pris part à la prière à la Grande Mosquée, l'imam Mohamed Moussaoui a lancé un appel à la "vigilance" pour préserver la "sécurité" de la France. "Malheur à celui qui effraie les gens chez eux ou ailleurs", a-t-il dit. "Nous vivons dans ce pays et il vous incombe à tous de préserver sa tranquillité", a-t-il insisté en souhaitant "que la justice passe"."On est pris en otages entre les extrémistes religieux et les extrémistes politiques", a dit à l'AFP Abdelkarim Ramdane, un jeune conseiller municipal venu assister à la prière qui s'interroge "comment créer des ponts pour éviter de rentrer dans la brèche de violence?"
Débutée à 9h, la grande prière de la Tabaski a connu la présence de représentants des autres confessions religieuses, venus communier avec leurs frères et sœurs musulmans. La paix », c’est le mot qui était sur les lèvres des fidèles musulmans, en cette matinée de samedi à la Place de nation. Sous la direction de l’imam de la grande mosquée de Ouagadougou, Abdallah Ouédraogo, les fidèles musulmans ont invoqué Allah pour le retour de la paix et la réconciliation au Burkina. L’imam Abdallah Ouédraogo a invité la communauté musulmane à promouvoir le vivre-ensemble. Dans son sermon, l’imam a insisté sur la promotion de la cohésion sociale au Burkina Faso, gage de la paix. Ainsi, il a invité ses frères musulmans à être des acteurs de paix. Des autorités politiques étaient présentes à la prière de l’Aïd-el-Kébir à Ouagadougou. On peut citer les ministres en charge respectivement des Affaires religieuses, de l’Environnement, du Commerce, des Transports et de l’Urbanisme. Le ministre des Affaires religieuses et coutumières, Issaka Sourwèma, a traduit l’accompagnement du gouvernement aux fidèles musulmans. Le ministre des Affaires religieuses, Issaka Sourwèma, a souhaité, au nom du gouvernement, une bonne fête de l’Aïd-el-Kébir aux musulmans. Dans son message, il a rappelé la nécessité de la cohésion sociale. La paix, c’est la règle dans l’islam », a-t-il indiqué, avant de rappeler à la raison tous ceux qui s’en prennent à la nation pour d’autres raisons. Nous invitons ceux-là qui ont pris les armes contre leurs frères et sœurs à savoir raison garder et à revenir à la maison parce que la famille les attend avec impatience », a lancé le ministre à l’endroit des agresseurs du pays. Le président de la communauté musulmane du Burkina, Moussa Kouanda, a appelé à l’union. Le président de la communauté musulmane du Burkina, Moussa Kouanda, a également lancé un message de paix aux fidèles. Il a invité les acteurs politiques à tout mettre en œuvre pour la préservation de la paix au pays des Hommes intègres, au regard de l’évolution de l’actualité. Il a salué la présence des autres communautés religieuses à leurs côtés. Le représentant du souverain pontife au Burkina, le nonce apostolique, Mgr Michaël Crotty, a lui aussi appelé les Burkinabè à l’union. Prions pour la fraternité », a-t-il exhorté. La prière a été marquée par l’immolation du mouton. Le mouton immolé à l’issue de l’office religieux. En rappel, la Tabaski, selon l’islam, est célébrée deux mois et dix jours après la fête de fin du Ramadan. Surnommé fête du mouton », l’Aïd-el-Kebir est une fête religieuse qui rappelle la soumission d’Ibrahim à Dieu, lorsque celui-ci lui demanda de sacrifier son fils Ismaël. Serge Ika Ki
Cette année, les musulmans de France n’ont pas pu accomplir la prière de l’Aïd marquant la fin du ramadan dans les mosquées. En effet, la pandémie du coronavirus a rendu impossible le respect des gestes barrières imposées par le gouvernement. En effet, par ordonnance en date du 18 mai 2020, le juge des référés du Conseil d’État à ordonné au Gouvernement de lever l’interdiction générale et absolue de réunion dans les lieux de culte et d’édicter à sa place des mesures strictement proportionnées aux risques sanitaires et appropriées en ce début de déconfinement ». Un jour avant la fête, le ministre de l’intérieur a émis ordonnance avec les recommandations pour les prières collectives. Le décret concernait notamment la mise en place obligatoire de mesures de distanciation, de gestes barrières et la mise à disposition de produits d’hygiène pour les fidèles. Les associations cultuelles n’ont pas pu organiser la prière de l’Aïd Au regard de la gravité de la crise sanitaire actuelle et l’impératif de respect de la santé de ses membres, les associations cultuelles ont décidé, à une très importante majorité, d’inviter les fidèles à faire la prière de l’Aïd chez eux. Ces associations ont souligné les difficultés pratiques de mise en place des mesures édictées par le ministère pour le respect de la santé des fidèles, incluant notamment des règles de distanciation sociale difficiles à faire appliquer et occasionnant des coûts importants. Il faut également préciser que les associations ont préféré ne pas prendre de risque pour les fidèles au regard de la tardiveté de l’annonce du ministère concernant les mesures à prendre, et la nécessité de mettre en place en urgence des règles très strictes. URGENT Malgré le nouveau décret du gouvernement, la prière de l’Aïd n’aura pas lieu dans les mosquées de France – CFCM CFCM CfcmOfficiel May 23, 2020 Ainsi, le Conseil français du culte musulman CFCM, le Milli Gorus, le CCMTF Comité de Coordination des Musulmans Turcs de France qui dépend du DITIB et les autres mosquées ont émis des préconisations claires et strictes aux lieux de culte musulmans, invitant chacun à ne pas organiser de prière collective pour l’Aïd. Ces recommandations avaient également été prises après consultation de spécialistes de la lutte contre le Covid 19, en matière sanitaire. Ce dimanche 24 mai 2020, l’extrême majorité des associations culturelles musulmanes a donc fait preuve de responsabilité en appelant les fidèles à rester chez eux pendant l’Aid. Quelques rares exceptions sont néanmoins à noter. L’association de Cergy-Pontoise organise quand même la prière L’Association DITIB de Cergy-Pontoise a organisé une prière de l’Aïd, en réunissant près de 200 personnes. Cette prière a eu lieu alors même que le DITIB dont est membre cette association, avait appelé les fidèles à rester chez eux. Néanmoins, la direction a pu rassembler les fidèles à l’extérieur de la mosquée tout en respectant les règles distanciations sociales. La direction du DITIB n’ont pas communiqué, pour le moment, concernant ce non-respect des mesures sanitaires par l’association DITIB de Cergy-Pontoise. Les mosquées veulent attendre début juin pour faire savoir les décisions concernant la reprise progressive des prières. Par ailleurs, des fidèles à Levallois-Perret en région parisienne ont pu fait faire la prière de l’Aïd dans un complexe sportif de la ville. Ainsi, les musulmans ont pu respecter toutes les préconisations sanitaires obligatoires dictées par le ministre de l’intérieur. A noter que l’Allemagne avait pris les devants en autorisant les prières collectives quelques semaines plutôt. Cela a permis aux musulmans d’Allemagne de préparer en amont la prière de l’Aïd. Ainsi, un magasin IKEA a mis à disposition des musulmans son parking afin que les fidèles puissent accomplir la prière dans des conditions saines. Grand bravo à ce magasin IKEA en Allemagne qui a répondu favorable a la communauté musulmane pour étaler la prière de l’Aïd sur son parking afin de respecter la distanciation sociale. Vielen Dank Riad Kaced riadkaced May 24, 2020
il appelle les fidèles musulmans à la prière