LESILENCE EST UN AMI QUI NE TRAHIT JAMAIS
Informationssur la Citation #201656 Le silence est un ami qui ne trahit jamais. - les du monde, un recueil de citations, citations populaires, citation du jour, citations par auteur, citations par thĂšme, proverbes par pays, proverbes du monde, proverbe du jour, auteurs et biographies
PremiĂšrepensĂ©e de cet ami â comment faire pour que vous puissiez avoir tous les « vrais » amis dont vous rĂȘvez mĂȘme Ă son dĂ©triment : jamais il/ elle ne parle de lui/ ellemais son gĂ©nie (Ă Ăpicure) est tel que toute lâorganisation MONDIALE pour que lâamitiĂ© explose comme la bombe qui va Ă©vacuer toutes les puĂ©riles horreurs soit activĂ©e â est « dĂ©jà » dans ses
Lesilence est un ami qui ne trahit jamais. - Confucius. Tout nous trahit lorsque nous trahissons. - Sacha GUITRY. Le silence n'a jamais trahi personne. - Rivarol. Un homme n'est jamais pleinement satisfait de trahir une femme sans la faire
Silansou se li ki viw alĂČ evite foure bouche nan sa ki pa konsĂšnew #AbonnĂ© #like #LaPlĂ©iade
xmoS. Mar 5 2017 Apprendre sans rĂ©flĂ©chir est vain. RĂ©flĂ©chir sans apprendre est dangereux. â confucius Apprendre sans rĂ©flĂ©chir est vain. RĂ©flĂ©chir sans apprendre est dangereux.» â confucius Apprendre sans rĂ©flĂ©chir est vain. RĂ©flĂ©chir sans apprendre est dangereux.» â confucius citation apprendre, citation courte, citation danger, citation rĂ©flĂ©chir âą 0 âą Tags apprendre, Confucius, courte, danger, rĂ©flĂ©chir Mai 9 2016 Trois sortes dâamis sont utiles, trois sortes dâamis sont nĂ©fastes. Les utiles un ami droit, un am... Trois sortes dâamis sont utiles, trois sortes dâamis sont nĂ©fastes. Les utiles un ami droit, un ami fidĂšle, un ami cultivĂ©. Les nĂ©fastes un ami faux, un ami mou, un ami bavard.» â confucius Trois sortes dâamis sont utiles, trois sortes dâamis sont nĂ©fastes. Les utiles un ami droit, un ami fidĂšle, un ami cultivĂ©. Les nĂ©fastes un ami faux, un ami mou, un ami bavard.» â confucius By Angel âą citation amis, citation amitiĂ©, citation fidĂšle, citation fidĂ©litĂ©, citation roi âą 0 âą Tags amis, amitiĂ©, Confucius, fidĂšle, roi Mar 18 2016 Quand un homme a faim, mieux vaut lui apprendre Ă pĂȘcher que de lui donner un poisson. â confucius Quand un homme a faim, mieux vaut lui apprendre Ă pĂȘcher que de lui donner un poisson.» â confucius Quand un homme a faim, mieux vaut lui apprendre Ă pĂȘcher que de lui donner un poisson.» â confucius By Angel âą citation apprendre, citation homme âą 0 âą Tags apprendre, Confucius, homme Mar 1 2016 La plus grande gloire nâest pas de ne jamais tomber, mais de se relever Ă chaque chute. â confucius... La plus grande gloire nâest pas de ne jamais tomber, mais de se relever Ă chaque chute.» â confucius La plus grande gloire nâest pas de ne jamais tomber, mais de se relever Ă chaque chute.» â confucius By Angel âą citation gloire, citation inclassables, citation jamais, citation pensĂ©es positives âą 0 âą Tags Confucius, gloire, Jamais
ï»żCitations âș Vie âș Le silence est un ami qui ne trahit jamais. Citation sur la vie de Confucius Le silence est un ami qui ne trahit jamais. Confucius est l'auteur de la citation sur la vie "Le silence est un ami qui ne trahit jamais.". Confucius est Ă©galement l'auteur des citations La joie est dans tout ce qui nous entoure, il suffit de savoir l'extraire. Quand on ne sait pas ce qu'est la vie, comment pourrait-on savoir ce qu'est la mort ? La lanterne de l'expĂ©rience n'Ă©claire que celui qui la porte. Tous les hommes pensent que le bonheur se trouve au sommet de la montagne alors qu'il rĂ©side dans la façon de la gravir. Examine si ce que tu promets est juste et possible, car la promesse est une dette. Si l'homme a deux oreilles et une bouche, c'est pour Ă©couter deux fois plus qu'il ne parle. Nulle pierre ne peut ĂȘtre polie sans friction, nulle personne ne peut parfaire son expĂ©rience sans Ă©preuve. Vous ne trouverez jamais ce que vous ne cherchez pas. Qui veut ĂȘtre constant dans le bonheur ou dans la sagesse doit savoir changer souvent. Choisissez un travail que vous aimez et vous n'aurez pas Ă travailler un seul jour de votre vie. Le but n'est pas tout. Chaque pas vers le but est un but. Ce sont tous les petits buts qui font le but. La nature fait les hommes semblables, la vie les rend diffĂ©rents. Ă ta naissance tout le monde rit, et tu es le seul Ă pleurer. Conduit ta vie de façon Ă ce qu'Ă ta mort tout le monde pleure et que tu sois le seul Ă sourire. Exige beaucoup de toi-mĂȘme et attends peu des autres. Ainsi beaucoup d'ennuis te seront Ă©pargnĂ©s. Si tu veux profiter de ta vie apprends Ă profiter de ta simple journĂ©e. Agis avec gentillesse, mais n'attends pas de reconnaissance. La nature fait les hommes semblables, la vie les rend diffĂ©rents. Celui qui dĂ©place une montagne commence par dĂ©placer de petites pierres. Rappelle-toi que ton fils n'est pas ton fils, mais le fils de son temps. Lorsque les mots perdent leur sens, les gens perdent leur libertĂ©. RĂ©solvez un problĂšme et vous en Ă©loignez cent autres. Il n'y a que les pĂšres et les mĂšres qui s'affligent vĂ©ritablement de la maladie de leurs enfants. La vie de l'homme dĂ©pend de sa volontĂ© ; sans volontĂ©, elle serait abandonnĂ©e au hasard. Ce qu'on sait, savoir qu'on le sait ; ce qu'on ne sait pas, savoir qu'on ne le sait pas c'est savoir vĂ©ritablement. Celui qui dĂ©place une montagne commence par dĂ©placer de petites pierres. Je ne cherche pas Ă connaĂźtre les rĂ©ponses, je cherche Ă comprendre les questions. HĂ©las ! Je n'ai encore vu personne qui aimĂąt la vertu comme on aime la beautĂ© corporelle. Copyright © 2022 . Tous droits rĂ©servĂ©s. CGU
SecouĂ©e par des tremblements incontrĂŽlables, Daisy peinait Ă se relever. Son corps tout entier lui faisait mal, ses muscles refusaient de puiser l'Ă©nergie nĂ©cessaire pour lui permettre de tenir sur ses jambes. La torture Ă©tait de plus en plus violente, les sortilĂšges se faisaient longs et douloureux, l'empĂȘchant d'aligner des pensĂ©es cohĂ©rentes. Poudlard n'Ă©tait plus le refuge protĂ©gĂ© dans lequel elle avait Ă©tudiĂ© pendant six ans, il s'agissait maintenant d'un endroit supplĂ©mentaire tombĂ© sous la coupe des forces du Mal. Les Mangemorts avaient pris possession de l'Ă©cole de magie, imposant leur prĂ©sence tĂ©nĂ©breuse aux savait que la situation pouvait dĂ©gĂ©nĂ©rer mais elle commençait Ă atteindre ses limites. Les potions rĂ©gĂ©nĂ©ratrices ne parvenaient plus Ă apaiser sa souffrance, elles lui Ă©taient devenues inutiles depuis quelques semaines. La Serdaigle Ă©tait consciente qu'une parole suffirait Ă amĂ©liorer les choses mais elle gardait un point d'honneur Ă ne rien dire. Amycus Carrow s'amusait souvent avec elle, usant du sortilĂšge doloris dĂšs qu'il le pouvait, prĂ©textant des dĂ©sobĂ©issances de la part de Daisy, mĂȘme lorsqu'elle ne parlait pas. Elle avait su s'adapter Ă ces retenues particuliĂšres, regrettant le temps oĂč elle rĂ©curait les chaudrons Ă cause de ses remarques pendant les cours du professeur c'Ă©tait une autre Ă©poque, un temps Ă proscrire de ses pensĂ©es. Elle n'Ă©tait plus qu'une poupĂ©e silencieuse uniquement capable de se taire, mĂȘme quand son corps lui faisait mal et que son esprit criait sa douleur. Elle se rĂ©fugiait dans un coin de sa tĂȘte, pour retenir des hurlements qui plairaient bien trop Ă Amycus qui prenait beaucoup de plaisir Ă la enfin Ă se remettre debout, chancelant Ă chacun de ses pas, Daisy passa Ă cĂŽtĂ© du Mangemort, sans un mot. Il l'observa avec un rictus satisfait, n'esquissant pas le moindre geste pour la retenir, l'ayant fait souffrir assez pour la soirĂ©e. La jeune femme avançait difficilement, quittant la piĂšce alors que son ĂȘtre lui soufflait de se reposer, ce qu'elle ne fit pas puisqu'elle se dirigea vers une destination plus prĂ©cise mais Ă©loignĂ©e de sa salle commune. VĂ©rifiant qu'il n'y avait personne derriĂšre elle, la Serdaigle se rendit au septiĂšme Ă©tage, implorant la Salle sur Demande pour se voir offrir un espace oĂč se rendre Ă©tait hors de question pour elle de retourner auprĂšs de ses camarades dans un tel Ă©tat, ils n'avaient pas besoin d'un rappel de ce qui les attendait s'ils ne respectaient pas les volontĂ©s de la nouvelle Ă©quipe Ă©ducative. La jeune femme se traĂźna vers un point d'eau mis Ă sa disposition par la Salle, hĂ©sitant Ă observer son apparence dans la psychĂ© qui se dressait face Ă elle. Ses cheveux bruns Ă©taient ternes et emmĂȘlĂ©s, son regard d'or paraissait vide et son visage Ă©tait maculĂ© par le sang qui s'Ă©tait Ă©chappĂ© de son nez suite aux coups physiques d'Amycus. Avec un grognement de douleur, elle se dĂ©shabilla doucement, ne manquant pas de constater que le moindre mouvement Ă©tait un vĂ©ritable supplice, simplement parce qu'elle refusait de s'abaisser devant les Carrow et leurs idĂ©aux sur la puretĂ© du se passa de l'eau sur le visage, frottant jusqu'Ă voir disparaĂźtre toutes les traces de sang, colorant l'eau en rouge. Ce geste lui Ă©tait trop familier, dĂ©sormais. Les larmes contenues dans ses yeux coulĂšrent enfin et elle s'Ă©croula sur le sol, recroquevillĂ©e. Ses pleurs Ă©taient silencieux, aucun bruit ne venait briser la quiĂ©tude de la Salle sur Demande. La sorciĂšre finit par fermer ses paupiĂšres, rĂȘvant Ă une autre Ă©poque, lorsque sa seule peur Ă©tait de louper ses potions ou de devenir la cible de Drago Malefoy et de sa bande. Elle savait bien qu'elle ne pouvait plus espĂ©rer retrouver l'ambiance des annĂ©es prĂ©cĂ©dentes, plus maintenant, mais elle continuait de croire en un miracle, mĂȘme plat de la main, elle sĂ©cha ses larmes, se relevant ensuite pour se passer Ă nouveau de l'eau sur le visage. Les autres ne devaient pas voir qu'elle avait pleurĂ©, elle ne tenait pas Ă les dĂ©courager encore plus. Daisy rĂ©cupĂ©ra quelques vĂȘtements aux couleurs de sa maison puis termina de s'habiller. Dans la poche de sa cape, sa baguette semblait bien lourde. Il lui suffisait de la saisir pour se dĂ©barrasser des Carrow et de leurs tortures mais il y avait pire derriĂšre cet acte. Elle Ă©tait incapable de tuer mais les immobiliser ne serait qu'un rĂ©pit de trop courte durĂ©e. Elle s'Ă©tait promis d'obtenir ses examens au plus vite puis de quitter Poudlard pour ne jamais y revenir, tant pis si elle devait mettre de cĂŽtĂ© son rĂȘve d'y enseigner la DĂ©fense Contre les Forces du une nouvelle fois sa tenue, la sorciĂšre retourna dans sa salle commune, saluant d'un lĂ©ger signe de tĂȘte les quelques camarades qu'elle croisait. Certains l'Ă©vitaient en marmonnant sur son passage, prĂ©textant qu'elle mĂ©ritait ce qu'elle avait Ă supporter et argumentant sur le fait qu'elle devait assumer ses propres paroles. Elle n'avait pas besoin d'ĂȘtre trĂšs douĂ©e pour savoir qu'ils tenaient ces discours afin de se faire bien voir, pour ne pas subir le mĂȘme sort que les Ă©lĂšves qui se faisaient torturer. Ils agissaient tous de cette maniĂšre, comme des pantins, afin de ne pas se faire remarquer. Pour sa part, Daisy ne pouvait plus se taire, elle se sentait souvent poussĂ©e par un dĂ©sir violent d'exprimer sa haine Ă l'encontre des serviteurs du Seigneur des TĂ©nĂšbres n'avaient pas de prise sur elle, elle n'avait aucun frĂšre, aucune sĆur pouvant servir d'otage. Son pĂšre avait Ă©tĂ© assassinĂ© quelques mois plus tĂŽt, la rendant orpheline. Sa mĂšre Ă©tait morte quand elle n'Ă©tait qu'un nourrisson. Les Carrow pouvaient bien la menacer de s'en prendre Ă sa famille, elle n'avait plus personne, il ne lui restait plus que ses amis. Et pour eux, elle se retenait de dire ce qu'il ne fallait pas, ce qui risquait de coĂ»ter leur vie. Mais tout comme la torture commençait Ă ĂȘtre lourde Ă porter, ses pensĂ©es avaient du mal Ă ne pas ĂȘtre exprimĂ©es librement face Ă ses parvint au dortoir des filles, Daisy fut accueillie par des regards distants. MĂȘme ses camarades fĂ©minines n'osaient pas lui parler, comme si elle Ă©tait devenue l'Ă©lĂšve Ă Ă©viter alors que d'autres provoquaient les Carrow bien plus souvent qu'elle. Sans mĂȘme leur adresser la parole, elle se coucha dans son lit, grimaçant encore lorsque son corps lui rappela qu'elle avait mal. La douceur des draps ne compensait pas ses douleurs mais elle avait besoin de sommeil et elle n'allait pas se plaindre pour si peu. Plusieurs fois, elle se retourna, peinant Ă trouver la bonne position pour dormir. Les questions d'Amycus allaient et venaient dans sa tĂȘte, elle n'arrivait pas Ă les oublier, d'autant plus qu'elle n'avait aucune rĂ©ponse Ă leur fournir, Ă lui et aux autres ignorait oĂč se trouvait Harry Potter et ses amis, elle avait beau lui avoir dĂ©jĂ adressĂ© la parole, ce n'Ă©tait pas l'Ă©lĂšve qu'elle avait le plus cĂŽtoyĂ© en six ans et elle n'Ă©tait sĂ»rement pas la mieux placĂ©e pour en savoir autant Ă son sujet. Tout comme elle ne savait pratiquement rien sur ceux qui se rebellaient contre Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom. Ou du moins, elle ignorait trop de choses pour pouvoir ĂȘtre la vraie cible idĂ©ale des Mangemort, elle ne connaissait que quelques noms Ă©vidents, comme tout le monde. L'implication des Weasley n'Ă©tait inconnue de presque personne, raison pour laquelle Ginny Ă©tait surveillĂ©e par certains professeurs, de mĂȘme que ceux qui s'affichaient avec elle dans les couloirs de ces pensĂ©es de son esprit, la Serdaigle tenta de s'endormir mais une voix autoritaire rĂ©sonna Ă travers l'Ă©cole de sorcellerie. Elle fronça les sourcils en se redressant dans son lit, jetant un coup d'Ćil Ă ses camarades, toutes pĂąles et inquiĂštes. Elles quittĂšrent toutes leurs chemises de nuit pour revĂȘtir leurs uniformes, rejoignant les garçons dans la salle commune. Comme l'ordonna Alecto Carrow, tous les Ă©lĂšves se rendirent dans la Grande Salle, lĂ oĂč se rassemblaient les autres maisons. Daisy n'Ă©tait pas rassurĂ©e, un rassemblement en pleine nuit n'Ă©tait jamais bon signe. Tous les enseignants Ă©taient lĂ , y compris le directeur Rogue qui dĂ©taillait les jeunes sorciers et sorciĂšres qui lui faisaient face. Le silence Ă©tait pesant, personne ne parlait, attendant tous de connaĂźtre la raison de cette convocation Nous avons dĂ©couvert des livres interdits dans l'enceinte de l'Ă©cole, dĂ©clara Alecto en se dĂ©lectant des expressions tendues ou effrayĂ©es des Ă©lĂšves. De la magie de haut niveau prohibĂ©e dans notre femme Mangemort patienta quelques secondes, savourant l'effet de son discours. Ce genre de dĂ©couverte pouvait entraĂźner des tortures physiques ou morales trĂšs lourdes pour le responsable, ce que chacun savait. Bien Ă©videmment, personne ne se dĂ©nonça, ce que les professeurs n'apprĂ©ciĂšrent pas. Amycus poussa un soupir feint avant de se diriger vers la rangĂ©e des Serdaigle, s'arrĂȘtant devant Daisy qu'il toisa Il serait dommage de punir la mauvaise personne, murmura-t-il en se penchant vers elle. Mais nous avons l'habitude de passer du temps brune se demanda si les autres avaient entendu les paroles du Mangemort mais elle ne dit rien, essayant de cacher ses tremblements. Elle n'Ă©tait pas encore vraiment remise des doloris de la journĂ©e mais elle savait trĂšs bien qu'elle ne serait pas Ă©pargnĂ©e si personne ne se rendait. Amycus aimait lui faire du mal, il utilisait n'importe quel prĂ©texte pour la voir souffrir et elle n'Ă©chapperait sans pas Ă ce qui l' Je pourrais te rĂ©vĂ©ler quelque chose au sujet de ton pĂšre, il a eu une pensĂ©e pour toi avant de sorciĂšre sentit son cĆur battre plus vite et ce n'Ă©tait pas Ă cause des tortures qui se profilaient. L'assassinat de son pĂšre avait brisĂ© quelque chose en elle et lĂ , alors qu'elle faisait tout pour tenter d'oublier sa peine, Amycus trouvait un moyen d'attiser sa curiositĂ©. Il lui faisait pression en Ă©voquant la mort de son pĂšre, pour obtenir des futures informations qu'elle n'Ă©tait pas en mesure de lui fournir. Elle aurait le choix entre livrer le peu qu'elle savait sur Potter ou ne jamais apprendre ce que son pĂšre avait Ă lui dire. Elle dĂ©glutit difficilement alors qu'Amycus esquissait un sourire satisfait en dĂ©clarant haut et fort que Daisy payerait pour le ou la pour la Serdaigle, cette simple phrase ne suffit pas Ă tirer des remords au responsable et elle se vit contrainte de suivre le Carrow. Plusieurs de ses camarades lui lancĂšrent des regards dĂ©solĂ©s et compatissants mais elle les ignora, marchant d'un pas automatique en refusant de penser Ă ce qui l'attendait. Le Mangemort ne se dĂ©partit pas de son sourire, ce qui tira un frisson d'apprĂ©hension Ă la sorciĂšre. Daisy Ă©tait de plus en plus tendue, elle ne parvenait pas Ă chasser de ses pensĂ©es le mal qu'elle ressentait Ă chacune de ses sĂ©ances de torture, d'autant plus qu'elle allait subir tout cela Ă la place de quelqu'un d'autre. Elle Ă©tait loin d'avoir le lĂ©gendaire courage des Gryffondor, elle tremblait de la tĂȘte aux pieds mais elle tint le coup malgrĂ© la poussa dans son bureau, refermant magiquement la porte derriĂšre lui en arborant un rictus malsain qui ne passa pas inaperçu aux yeux de la Serdaigle. Elle serra les poings fortement, refusant de lui montrer qu'elle avait de plus en plus peur. Le Carrow la dĂ©possĂ©da de sa baguette avant de prononcer distinctement le sortilĂšge doloris. AussitĂŽt, Daisy fut la proie d'une douleur croissante, tombant Ă genoux sur le sol en refusant de laisser passer le moindre hurlement, les lĂšvres closes. Les premiĂšres salves de magie la firent souffrir mais elle gardait encore conscience, restant lucide le plus Mangemort, peu satisfait de constater qu'elle luttait, augmenta l'effet du sortilĂšge. La Serdaigle s'Ă©croula complĂštement, son regard fixant le motif d'un tapis pour ne pas sombrer. Elle connaissait l'histoire des parents de Neville, elle en avait entendu parler par les rumeurs et elle ne voulait pas finir comme eux. La folie n'Ă©tait pas le meilleur avenir Ă souhaiter, elle n'aurait personne pour la pleurer quand elle aurait perdu l'esprit. Cette simple constatation lui redonna des forces et elle croisa alors les yeux cruels d'Amycus, soutenant son regard sans flancher, ignorant la douleur qui parcourait son corps Ă chaque OĂč est Potter ? persifla le Mangemort. OĂč est-il ?Daisy ne rĂ©pondit pas, se contentant d'un sourire insolant, retenant une remarque qui pourrait lui valoir une punition plus Tu prends la mauvaise dĂ©cision en restant muette, lĂącha le frĂšre d'Alecto. Je vais t'obliger Ă me supplier et tu retrouveras vite l'usage de la parole. Pense Ă ton jeune femme avait beau savoir que la protection du monde magique Ă©tait importante, plus que ses propres intĂ©rĂȘts, elle ne pouvait s'empĂȘcher de vouloir savoir. Mais elle n'avait rien Ă donner en Ă©change et elle devinait que le Mangemort en avait parfaitement Dis-moi tout ce que tu sais sur les opposants du Seigneur des TĂ©nĂšbres et tu auras les derniĂšres paroles de ton secoua la tĂȘte nĂ©gativement, recevant un nouveau doloris, ne baissant pas les bras pour autant. Des larmes commençaient Ă couler sur ses joues, symboles de son dĂ©sespoir et du dilemme qui prenait forme dans son esprit. D'un cĂŽtĂ©, il y avait le peu d'informations qu'elle possĂ©dait et, de l'autre, un dernier signe de vie de son pĂšre, rien que des mots pour elle de la part de la seule personne qui avait veillĂ© sur elle. Elle s'Ă©tait promis de ne jamais cĂ©der, de garder pour elle les rares bribes de connaissances sur la rĂ©sistance magique mais elle avait tant aimĂ© son pĂšre qu'elle n'Ă©tait plus sĂ»re d' Je ne te demande pas grand-chose, Daisy, juste une petite aide de ta part. J'ai beaucoup Ă t'offrir, le MaĂźtre pourrait mĂȘme te Serdaigle n'eut pas besoin de plus pour reprendre pied dans la rĂ©alitĂ©. Le Carrow avait Ă©voquĂ© l'un des ĂȘtres les plus cruels du siĂšcle, ce qui lui suffisait pour se rappeler oĂč elle Ă©tait et ce qu'elle ne devait surtout pas faire. Lorsqu'un doloris plus violent la frappa, elle ne hurla pas, fermant juste les yeux en comptant les secondes. Peu importait l'insistance des Mangemorts, elle ne trahirait jamais le bon camp, en mĂ©moire de son pĂšre.
Le silence fait peur ; il est interprĂ©tĂ© de diverses maniĂšres dans nos sociĂ©tĂ©s en fonction des circonstances. Pendant les discussions, de façon gĂ©nĂ©rale, le silence ne dĂ©passe pas quelques secondes. Mais au-delĂ dâune minute, il peut inquiĂ©ter notre interlocuteur⊠Pourtant, câest un comportement qui a toujours Ă©tĂ© valorisĂ© par les plus importants leaders, intellectuels et philosophes du monde. Quâest ce que câest le silence ? Que peut-on dire du silence dans un monde oĂč la vie sociale valorise la communication ? Ma rĂ©flexion ne va pas portĂ©e sur les diffĂ©rentes interprĂ©tations que font les hommes ou les sociĂ©tĂ©s du silence. Ici, mon travail consiste plutĂŽt Ă faire ressortir les avantages du silence et de lâimpact que lâon pourrait avoir sur notre interlocuteur quand on garde le silence. Le silence peut-ĂȘtre dĂ©fini comme le fait de se taire ; ou encore comme lâabsence de bruit. Il est traduit par le fait de ne pas parler. Dans son sens originel, le silence est lâĂ©tat de la personne qui sâabstient de parler⊠Cela Ă©tant, bien que nous soyons la seule espĂšce dotĂ©e du langage articulĂ©, il serait dâune grande aberration de notre part, de croire que la communication ne peut se faire quâavec les mots ; puisquâil y a aussi le silence. Dâailleurs, un silence accompagnĂ© dâun regard dit beaucoup plus que les mots. Câest pour cette raison que San Antonio dit ceci Parler est le plus moche moyen de communication. Lâhomme ne sâexprime pleinement que par ses silences ». Par ailleurs, dans nos rapports avec nos congĂ©nĂšres, le silence a-t-il un rĂŽle Ă jouer ? Bien sĂ»r que si ! Et je dirai mĂȘme quâil a Ă jouer plus quâun simple rĂŽle ; il a une force. Jâai constatĂ© que pendant les discussions, un silence pourrait Ă©viter des Ă©ventuelles disputes quand les tons commencent Ă monter les uns sur les autres. Il Ă©vite donc les querelles. Le silence Ă©carte Ă©galement de nous toutes sortes de condamnation ; car pour ĂȘtre condamnĂ©, il faudrait avancer des propos condamnables. Or si nous gardons le silence, je pense bien que nous pourrons Ă©chapper Ă des condamnations inhĂ©rents du verbal. Nâest-ce-pas ? Bien ! Mais ce nâest pas tout. En plus du fait quâil ferme lâaccĂšs au diable en Ă©vitant les disputes, les discordes et les conflits, le silence nous conserve et nous distingue des autres. Ne me dites pas que depuis votre existence, vous nâavez constatĂ© dans votre quartier ou au service, quelquâun de votre entourage un homme ou une femme qui se fait remarquer par son silence ? Je crois bien que vous et moi, nous avons tous connu au moins une fois, quelquâun de ce genre. Et dans la plus part des cas, ce sont des personnes qui sont respectĂ©es de tous. Comme pour dire que le silence impose le respect. Et il en est de mĂȘme pour tous les Ăąges. Pas besoin dâavoir 18ans et sâaccompagner du silence pour ĂȘtre respecter par les autres. MĂȘme les enfants qui acquiĂšrent ce sens lĂ , depuis le bas Ăąge, sont respectĂ©s en mĂȘme temps et au mĂȘme titre que les adultes qui en possĂšdent. De tels enfants sont trĂšs souvent appelĂ©s dans nos sociĂ©tĂ©s enfant-sage ». Sachant bien que lâautoritĂ© ne vient quâaprĂšs lâacquisition du respect et de la considĂ©ration de la part de nos alter-Ă©go; une fois le respect imposĂ©, le chemin nâest-il pas ouvert vers lâautoritĂ© et le pouvoir ? Je veux dire par lĂ que, le silence est aussi un des multiples moyens dâassoir lâautoritĂ© si, toutefois, il est fondĂ© sur lâincarnation de lâhumilitĂ© et lâimposition du respect. Les amies, jâaime bien le silence, parce quâil est magique ! Si seule la terre ne ment pas, eh bahâŠsachez bien les amies que seul le silence ne trahit jamais. Câest pourquoi mieux vaut garder le silence que de parler si toutefois, les mots que lâon a ne sont pas plus forts que le silence. Ensuite, sachez bien que le silence perturbe votre adversaire, et le rend par la suite stupide. Plus vous ĂȘtes silencieux, plus vous inquiĂ©tez votre adversaire, et il en est ainsi dans nâimporte quel combat. Mais Ă condition que vous fassiez de votre silence un moyen de concentration et non, un Ă©tat de faiblesse psychologique. Enfin, les amies, une derniĂšre chose que je trouve extraordinaire, câest que le silence est un signe de sagesse et nous rapproche dâavantage Ă lâĂternel. Vous lâaurez certainement remarquĂ©, tous les hommes que lâont qualifie de sage, ont en commun le sens du silence. Notre silence nous permet de communiquer avec nous mĂȘme ; et donc, Ă mieux nous connaitre. Je suis convaincu que la vĂ©ritable sagesse, commence par la connaissance de soi. Raison pour laquelle, disait un grand philosophe grec du nom de Socrate connais-toi toi-mĂȘme » ! IndĂ©niablement, je conclu en disant que le silence est le plus haut degrĂ© de la sagesse. Notre silence attire le silence de Dieu. Faites-vous craindre par votre silence, et non par vos injures ; car si la parole est dâargent, le silence est dâor⊠Vous voulez la paix intĂ©rieure ? Apprenez Ă entrer en contact avec le silence Ă lâintĂ©rieur de vous-mĂȘme; Au plus profond de votre Ăąme Se trouve lâarbre du silence Qui porte les fruits de la paix !!!
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